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Serge BOYER
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Florent BOYER
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John Eric Traelnes
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SERGE BOYEREn 2019 je cède mon entreprise 39 rue de Liège 75008 Paris à mon fils Florent Boyer, Luthier Expert près la Cour d’appel de Paris, maison boyer luthiers Paris et je décide de m’installer du coté de Lausanne en Suisse.
C’est aussi en 2019 que je mets en ligne le fruit de toute ma vie d’expert, à savoir une banque de données photographiques sur l’école Française de 1700 à nos jours : violindocs.com Depuis je tisse petit à petit des relations avec les orchestres et leurs musiciens, avec des collectionneurs mais toujours avec une passion commune qui nous anime, la musique et le monde fascinant des instruments de musique. En 2020 j’organise en Romandie des ventes aux enchères spécialisées d’instruments de musique, ce qui m’a permis de découvrir des relations un peu différentes d’avec la France, le statut de commissaire priseur n’existant pas en Suisse. Enfin après ces premières expériences, assisté de luthiers professionnels comme Florent Boyer (www.boyerlutherie.com) et John Eric Traenels (www.luthiers.ch), il me tenait à coeur un projet, celui de louer des violons, alti, violoncelles anciens ou modernes, de qualité et d’authenticité la plus précise possible. |
Les musiciens entretiennent de vraies relations avec leur instrument, mais surtout aussi avec leur origine. Quand un musicien joue par exemple un violon italien 18 ème de l’école de Crémone (la patrie d’Antonius Stradivarius) il a toujours des pensées et des questions sur son origine : qui jouait ce violon dans les siècles passés ? Dans quelles conditions ? Cette magie de l’histoire de son instrument lui donne confiance pour se surpasser dans les moments difficiles d’une œuvre à interpréter.
Pour anecdote j’ai malheureusement vu nombre de musiciens très déçus en apprenant que l’instrument qu’ils jouaient depuis des années n’était pas authentique.
Le problème aujourd’hui, tous ces instruments atteignent souvent des prix qui ne sont pas en adéquation avec les moyens financiers dont les musiciens disposent.
C’est pourquoi via la location, il me semble possible de permettre à bon nombre de musiciens d’aborder, et surtout de jouer des instruments qui souvent dorment dans des coffres à l’abri de leur usage premier, celui d’être en concert et de ravir tous les mélomanes que nous sommes.
La location peut être aussi un moyen d’essayer un violon, alto, violoncelle pendant quelques mois et de l’acquérir si celui ci est peut être à vendre, avec possibilité de déduire le montant des locations versées, après déduction d’un intérêt de 6,5 % l’an calculé sur la valeur nominale des objets.
Je pense aussi que des musiciens proches de la retraite et qui ont pu acquérir des instruments quand les prix étaient ‘’dits ‘’ abordables, seraient heureux de pouvoir confier à la location via VIOLINDOCS.CH leurs violons, alto, violoncelles, et ne pas les vendre, car après avoir partagé 4 à 5 heures par jour d’intimité, et pour certains des dizaines d’années, beaucoup ne se résignent pas à les quitter même pour des valeurs importantes.
Par exemple, elle serait source de rentabilité pour des mécènes souhaitant diversifier leurs portefeuilles et des musiciens pourraient jouer sur des instruments qui leur sont d’habitude inaccessibles.
Il faut reconnaitre aussi que l’investissement dans les instruments du quatuor représente aujourd’hui un des placements les plus interessants du marché avec une progression constante depuis les années 1960, certains auteurs comme Antonius Stradivarius , Joseph Guarnerius dit Del Gesus , et Nicolas Amati , ayant vu des plus-values annuelles atteindre plus de 10 %.
Si en plus les musiciens pouvaient louer des beaux instruments, je n’ai aucun doute sur l’intérêt artistique de ces démarches.
Je suis sûr que ce lien avec la location permettrait de faire sortir des instruments qui ne sont plus joués depuis des années. Cela redonnerait du dynamisme et un intérêt incomparable pour les musiciens qui, dans la situation actuelle, peuvent imaginer ne jamais pouvoir jouer un grand violon durant leur carrière.
Une sorte de transmission entre les anciennes et les nouvelles générations de musiciens comme toutes les oeuvres d’art, et les instruments de musique en font partie, nous n’en sommes que les gardiens pendant quelques années ou décennies.
Dernièrement Maitre Yvry Gitlis nous a quittés, il jouait le Sancy un merveilleux Antonius Stradivarius de 1713, mais déjà son violon a rejoint les mains d’un autre soliste, ainsi s’en va la transmission avec ses extraordinaires successions de musiciens de générations en générations.
Voilà pourquoi je vous présente VIOLINDOCS.CH, mais pas uniquement, car je suis en mesure de vous apporter d’autres services , celui de l’expertise de vos instruments, de leurs valorisations et la possibilité de vous rédiger des certificats d’authenticité et des attestations d’assurances. Je m’occupe également de revendre vos instruments soit de gré à gré soit via des ventes aux enchères, mais toujours avec la même passion qui m’anime, celle de réaliser la meilleure passation d’une pièce historique.
Pour anecdote j’ai malheureusement vu nombre de musiciens très déçus en apprenant que l’instrument qu’ils jouaient depuis des années n’était pas authentique.
Le problème aujourd’hui, tous ces instruments atteignent souvent des prix qui ne sont pas en adéquation avec les moyens financiers dont les musiciens disposent.
C’est pourquoi via la location, il me semble possible de permettre à bon nombre de musiciens d’aborder, et surtout de jouer des instruments qui souvent dorment dans des coffres à l’abri de leur usage premier, celui d’être en concert et de ravir tous les mélomanes que nous sommes.
La location peut être aussi un moyen d’essayer un violon, alto, violoncelle pendant quelques mois et de l’acquérir si celui ci est peut être à vendre, avec possibilité de déduire le montant des locations versées, après déduction d’un intérêt de 6,5 % l’an calculé sur la valeur nominale des objets.
Je pense aussi que des musiciens proches de la retraite et qui ont pu acquérir des instruments quand les prix étaient ‘’dits ‘’ abordables, seraient heureux de pouvoir confier à la location via VIOLINDOCS.CH leurs violons, alto, violoncelles, et ne pas les vendre, car après avoir partagé 4 à 5 heures par jour d’intimité, et pour certains des dizaines d’années, beaucoup ne se résignent pas à les quitter même pour des valeurs importantes.
Par exemple, elle serait source de rentabilité pour des mécènes souhaitant diversifier leurs portefeuilles et des musiciens pourraient jouer sur des instruments qui leur sont d’habitude inaccessibles.
Il faut reconnaitre aussi que l’investissement dans les instruments du quatuor représente aujourd’hui un des placements les plus interessants du marché avec une progression constante depuis les années 1960, certains auteurs comme Antonius Stradivarius , Joseph Guarnerius dit Del Gesus , et Nicolas Amati , ayant vu des plus-values annuelles atteindre plus de 10 %.
Si en plus les musiciens pouvaient louer des beaux instruments, je n’ai aucun doute sur l’intérêt artistique de ces démarches.
Je suis sûr que ce lien avec la location permettrait de faire sortir des instruments qui ne sont plus joués depuis des années. Cela redonnerait du dynamisme et un intérêt incomparable pour les musiciens qui, dans la situation actuelle, peuvent imaginer ne jamais pouvoir jouer un grand violon durant leur carrière.
Une sorte de transmission entre les anciennes et les nouvelles générations de musiciens comme toutes les oeuvres d’art, et les instruments de musique en font partie, nous n’en sommes que les gardiens pendant quelques années ou décennies.
Dernièrement Maitre Yvry Gitlis nous a quittés, il jouait le Sancy un merveilleux Antonius Stradivarius de 1713, mais déjà son violon a rejoint les mains d’un autre soliste, ainsi s’en va la transmission avec ses extraordinaires successions de musiciens de générations en générations.
Voilà pourquoi je vous présente VIOLINDOCS.CH, mais pas uniquement, car je suis en mesure de vous apporter d’autres services , celui de l’expertise de vos instruments, de leurs valorisations et la possibilité de vous rédiger des certificats d’authenticité et des attestations d’assurances. Je m’occupe également de revendre vos instruments soit de gré à gré soit via des ventes aux enchères, mais toujours avec la même passion qui m’anime, celle de réaliser la meilleure passation d’une pièce historique.
FLORENT BOYER
Né en 1983, Florent passe tout son temps à l’atelier, curieux de voir son père et grand-père façonner les pièces de bois. Après des études générales et un bac scientifique, il pense s’orienter vers un cursus d’architecte mais une sensation très forte l’attire vers les métiers manuels.
2003: Il débute son apprentissage à Mirecourt à l’École Internationale de Lutherie de Jean-Jacques Pagès. Pendant 2 ans et demi il construit environ une trentaine d’instruments (violons, altos, violoncelles). Il effectue cette formation en alternance et travaille une semaine par mois dans l’atelier familial afin d’apprécier toutes les autres tâches des grandes maisons. Il apprécie particulièrement le commerce et la relation avec les clients. Il apprend aussi les secrets du vernissage avec son grand-père Frédéric.
Malheureusement, Florent ne profitera pas longtemps des conseils de son grand-père qui tombe gravement malade en 2005 au milieu de son apprentissage.
Il termine son cycle à Mirecourt dans l’atelier de Roland Terrier de septembre 2005 à mars 2006 afin de maîtriser le montage des instruments.
2006/2007: Il rentre à Paris commencer son apprentissage dans la restauration d’instruments anciens auprès de son père. Il effectue aussi différents stages à l’étranger à Crémone, Londres, Amsterdam, Hong Kong et Portland.
Soucieux de faire passer son métier dans le 21ème siècle, il met en place en 2006 sa société de location d’instruments de musique par internet, LOCASTRAD.
2007/2009: Il part à New York pour se perfectionner auprès du luthier français Christophe Landon, reconnu pour son très haut niveau de restauration sur les instruments anciens.
2009: Il rentre dans l’atelier familial pour s’associer avec son père et faire perdurer son atelier. Il travaille l’expertise quotidiennement et s’affectionne pour le réglage des instruments. Il voyage régulièrement dans les grandes capitales avec son outillage pour proposer des réglages et restaurations.
2014: Il participe à la création de Violin-finder.com, site internet permettant la mise en relation de vendeurs et d’acheteurs d’instruments du quatuor.
2016: Il travaille sur un nouveau projet avec son père dans le secteur de l’expertise.
2019 : reprise de l’atelier familial à Paris.
2003: Il débute son apprentissage à Mirecourt à l’École Internationale de Lutherie de Jean-Jacques Pagès. Pendant 2 ans et demi il construit environ une trentaine d’instruments (violons, altos, violoncelles). Il effectue cette formation en alternance et travaille une semaine par mois dans l’atelier familial afin d’apprécier toutes les autres tâches des grandes maisons. Il apprécie particulièrement le commerce et la relation avec les clients. Il apprend aussi les secrets du vernissage avec son grand-père Frédéric.
Malheureusement, Florent ne profitera pas longtemps des conseils de son grand-père qui tombe gravement malade en 2005 au milieu de son apprentissage.
Il termine son cycle à Mirecourt dans l’atelier de Roland Terrier de septembre 2005 à mars 2006 afin de maîtriser le montage des instruments.
2006/2007: Il rentre à Paris commencer son apprentissage dans la restauration d’instruments anciens auprès de son père. Il effectue aussi différents stages à l’étranger à Crémone, Londres, Amsterdam, Hong Kong et Portland.
Soucieux de faire passer son métier dans le 21ème siècle, il met en place en 2006 sa société de location d’instruments de musique par internet, LOCASTRAD.
2007/2009: Il part à New York pour se perfectionner auprès du luthier français Christophe Landon, reconnu pour son très haut niveau de restauration sur les instruments anciens.
2009: Il rentre dans l’atelier familial pour s’associer avec son père et faire perdurer son atelier. Il travaille l’expertise quotidiennement et s’affectionne pour le réglage des instruments. Il voyage régulièrement dans les grandes capitales avec son outillage pour proposer des réglages et restaurations.
2014: Il participe à la création de Violin-finder.com, site internet permettant la mise en relation de vendeurs et d’acheteurs d’instruments du quatuor.
2016: Il travaille sur un nouveau projet avec son père dans le secteur de l’expertise.
2019 : reprise de l’atelier familial à Paris.
John Eric Traelnes
1962 John-Eric Traelnes, né d’un père norvégien et d’une mère suissesse, a vu le jour aux Etats-Unis. De retour en Suisse il se passionne très tôt pour la musique et le bois; à quinze ans il construit déjà son premier instrument.
1981 Il entre à la Chicago School of Violin Making, où il obtient son diplôme après quatre années d’études.
1984 En intégrant pour cinq ans l’atelier de Peter Benedek, maître luthier à Münich, il remet définitivement le pied sur le Vieux Continent. Il s’y familiarise avec la restauration d’instruments de prestige et tous les travaux d’un atelier important.
1989 Son séjour en Allemagne se termine par une maîtrise à l’école renommée de Mittenwald, au Sud du pays.
De retour en Suisse la même année, il ouvre son premier atelier Rue Neuve 11 à Lausanne. Tout d’abord en solo, il s’entoure au fil des ans d’employés, pour satisfaire une clientèle grandissante. Après sept ans, le petit atelier sous les toits devient trop petit. Tous les outils, instruments et personnes sont transférés au numéro 9, dans un loft offrant bien plus d’espace et de lumière. L’atelier devient l’un des points de convergence des cordes de Lausanne et ses alentours.
Ce nouveau lieu a permis l’organisation de plus de 50 concerts et durant quelques années l’atelier est même devenu une petite salle officielle pour la Fête de la Musique de Lausanne.
Il a été actif de nombreuses années au sein de l’ASLA (Association Suisse des Luthiers et Archetiers), en tant que membre du comité et aussi comme président.
Actuellement il est délégué suisse de l’EILA (Entente Internationale des Maîtres Luthiers et Archetiers d’art) et aussi membre fondateur de Strings Attached, un groupement de luthiers qui cherchent à promouvoir la lutherie contemporaine en Suisse en organisant des expositions d’instruments avec débats, concerts et échanges avec les musiciens.
2019 Il est co-fondateur de Néo-Ebène Sàrl, une start-up suisse déjà bien connue au-delà de nos frontières, qui produit des touches de violon, d’alto et de violoncelle fabriquées avec un matériau éco-composite sans ébène. Leur démarche est en effet de ne plus utiliser ce bois, qui se raréfie de façon alarmante, et de proposer une alternative de qualité équivalente, si ce n’est supérieur à l’ébène.
John-Eric Traelnes, maître luthier
Rue Neuve 9, CH-1003 Lausanne
www.luthiers.ch
Membre de l’Association Suisse des Luthiers et Archetiers (ASLA)
Membre de l’entente internationale des luthiers et archetiers (EILA)
1981 Il entre à la Chicago School of Violin Making, où il obtient son diplôme après quatre années d’études.
1984 En intégrant pour cinq ans l’atelier de Peter Benedek, maître luthier à Münich, il remet définitivement le pied sur le Vieux Continent. Il s’y familiarise avec la restauration d’instruments de prestige et tous les travaux d’un atelier important.
1989 Son séjour en Allemagne se termine par une maîtrise à l’école renommée de Mittenwald, au Sud du pays.
De retour en Suisse la même année, il ouvre son premier atelier Rue Neuve 11 à Lausanne. Tout d’abord en solo, il s’entoure au fil des ans d’employés, pour satisfaire une clientèle grandissante. Après sept ans, le petit atelier sous les toits devient trop petit. Tous les outils, instruments et personnes sont transférés au numéro 9, dans un loft offrant bien plus d’espace et de lumière. L’atelier devient l’un des points de convergence des cordes de Lausanne et ses alentours.
Ce nouveau lieu a permis l’organisation de plus de 50 concerts et durant quelques années l’atelier est même devenu une petite salle officielle pour la Fête de la Musique de Lausanne.
Il a été actif de nombreuses années au sein de l’ASLA (Association Suisse des Luthiers et Archetiers), en tant que membre du comité et aussi comme président.
Actuellement il est délégué suisse de l’EILA (Entente Internationale des Maîtres Luthiers et Archetiers d’art) et aussi membre fondateur de Strings Attached, un groupement de luthiers qui cherchent à promouvoir la lutherie contemporaine en Suisse en organisant des expositions d’instruments avec débats, concerts et échanges avec les musiciens.
2019 Il est co-fondateur de Néo-Ebène Sàrl, une start-up suisse déjà bien connue au-delà de nos frontières, qui produit des touches de violon, d’alto et de violoncelle fabriquées avec un matériau éco-composite sans ébène. Leur démarche est en effet de ne plus utiliser ce bois, qui se raréfie de façon alarmante, et de proposer une alternative de qualité équivalente, si ce n’est supérieur à l’ébène.
John-Eric Traelnes, maître luthier
Rue Neuve 9, CH-1003 Lausanne
www.luthiers.ch
Membre de l’Association Suisse des Luthiers et Archetiers (ASLA)
Membre de l’entente internationale des luthiers et archetiers (EILA)